Les fées enchantées

Dans les clairières secrètes des bois enchantés,
Vivent des créatures de lumière et d’éternité,
Les fées, gardiennes des rêves et des mystères,
Dansent sous la lune, dans le vent solitaire.

Leurs ailes diaphanes, éclats de cristal,
Flottent comme des murmures dans le voile astral,
Elles glissent sur les brumes, légères comme des songes,
Tissant des contes anciens que le temps prolonge.

Leurs rires cristallins, échos de l’infini,
Bercent les feuilles d’une douce harmonie,
Elles murmurent aux fleurs, éveillant leur beauté,
Révélant des secrets, des mondes oubliés.

Les fées tissent des charmes avec des fils de lumière,
Créant des arcs-en-ciel dans l’air, éphémères,
Elles veillent sur la forêt, sur chaque créature,
Apportant réconfort et douce aventure.

À la tombée du jour, quand le ciel s’embrase,
Elles allument les étoiles dans une danse extase,
Et sous la voûte céleste, dans un ballet éternel,
Elles célèbrent la vie, en un hymne solennel.

Leur magie discrète, douce et bienveillante,
Embrasse le monde d’une lueur étincelante,
Et ceux qui croient encore aux rêves et aux fées,
Peuvent entendre leur chant dans les bois cachés.

Ô fées, esprits des bois et des clairières,
Puissiez-vous toujours danser dans les airs,
Guidant nos cœurs vers des rêves enchantés,
Vers des royaumes de lumière et d’éternité.