Les portes de la mort se sont ouvertes
Au-delà des sourires moqueurs et infidèles
Pour une femme aimée partie à la découverte
D'une rive espérée sur le fleuve du ciel.
Les lumières du tunnel ont éclairés son coeur 
Sur le chemin du devenir elles pleuvent des larmes
Pour absorber les peines et faire tomber le bonheur
Sur la terre des hommes vainqueurs des armes.
La mort n'emporte pas l'amour des vivants 
Dans l'abandon d'un corps meurtri et figé,
Elle resplendit d'une vie en couleurs dans son éternité
Comme un tableau pendu sur les murs du temps.
Femme envolée à l'école de la vie 
Une table t'attend pour connaître notre survie.
Femme emportée dans le tourbillon de la vie 
Je danse avec toi une valse à mille temps
Sur la scène étoilée et la chaleur d'une nuit.
A te chanter mon amour pour unique présent 
Jamais n'aurai de cesse !
A te prendre la main pour gommer la douleur
Jamais n'aurai de cesse !

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