Je plie mes rêves dans un vieux foulard,
Je claque la porte sans même un regard.
Les mots trop lourds, les chaînes invisibles,
Je les laisse là, dans l’air indicible.


Qu’ils gardent leurs règles, leurs murs, leurs devoirs,
Moi je veux courir, mordre l’espoir.
Le vent me tutoie, la pluie m’embrasse,
Et chaque pas efface ce qui me lasse.


Je ne suis plus docile, ni bien rangée,
Je suis l’éclat d’une étoile dérangée.
Je danse sans rythme, je ris sans raison,
Je suis le chaos devenu chanson.


Qu’on me dise folle, qu’on me dise rien,
Je choisis l’ivresse plutôt que le frein.
Envoyer tout balader, c’est renaître enfin,
C’est peindre sa vie sans demander demain.

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