Une caresse invisible, un murmure léger,
Le vent s’éveille et vient nous effleurer.
Il glisse sur la peau, doux frisson délicat,
Portant en lui les secrets de l’habitat.
Il danse avec les nuages, les pousse sans bruit,
Et berce nos songes tout au long de la nuit.
Ni force brutale, ni souffle impétueux,
Seule une tendresse émane de ses jeux.
Dans les champs infinis, il dessine des vagues,
Ondulant les blés, sans jamais faire de vagues.
Les épis se prosternent, gracieux et mouvants,
Sous le pas feutré de ce souffle mouvant.
Il joue avec les feuilles, les fait virevolter,
Chuchotant des histoires que seul il sait conter.
Un parfum de terre humide, une senteur de fleur,
Il nous apporte les messages du cœur.
Au sommet des montagnes, il caresse les cimes,
Effleurant les sapins, ces géants sublimes.
Il parcourt les vallées, les pentes escarpées,
Laissant sur son passage une paix non usurpée.
Les rivières frémissent sous son doux baiser,
Et l’onde tranquille semble l’embrasser.
Il est la mélodie qui apaise les âmes,
La douceur du vent, la plus pure des flammes.
Il entre par nos fenêtres, sans bruit, sans clameur,
Balayant le silence, apportant la douceur.
Il sèche les larmes, efface les peines,
Une brise légère qui apaise nos veines.
Il murmure des mots que le cœur seul entend,
Un secret partagé, un amour évident.
La douceur du vent, infinie et sereine,
Emplit l’existence d’une joie souveraine.
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