Le ciel, immense toile, toujours renouvelée,
Un grand voile azur, par le vent balayée.
Des nuages légers, moutons d’une blancheur pure,
Voyagent lentement, au gré de l’aventure.

Le matin, il s’éveille, teinté de rose et d’or,
Promesse d’un nouveau jour, qui déjà prend son essor.
Le soleil le domine, flamme ardente et sereine,
Réveillant la nature, de toute sa fontaine.

À midi, d’un bleu profond, il s’étend à l’infini,
Reflet des songes clairs, d’un monde ébloui.
Les oiseaux y dessinent d’invisibles chemins,
Libres dans cette voûte, loin des tracas humains.

Puis vient le crépuscule, aux nuances de lilas,
Quand les feux du couchant s’étirent là-bas.
Le ciel se fait doux, murmure de la nuit,
Prêt à accueillir les étoiles, un à un, sans bruit.

La lune apparaît ensuite, perle pâle et lumineuse,
Guidant les constellations, danse mystérieuse.
Chaque astre scintille, un secret dévoilé,
Dans l’obscurité immense, un chemin étoilé.

Ô ciel, miroir du temps, témoin de nos existences,
Tu nous rappelles l’immensité, nos petites errances.
Source d’inspiration, de calme et de grandeur,
Tu es le tableau éternel, de notre humble splendeur


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