Dans les entrailles de silicium, un cerveau nouveau,

Des lignes de code, un langage mystérieux,

Les machines s’éveillent, un rêve techno,

Aux confins du possible, des horizons lumineux.

L’intelligence artificielle, prophète des temps modernes,

Déchiffre des énigmes, crée des mondes virtuels,

Elle devine nos désirs, elle anticipe nos ternes,

Révolutionne nos vies, nos gestes essentiels.

Des algorithmes dansent, en une symphonie logique,

Les robots apprennent, imitent les humains,

Du diagnostic médical au geste mécanique,

La science avance, effaçant maints chagrins.

Mais sous ce progrès, des questions lancinantes,

Des peurs surgissent, des doutes épars,

L’homme, créateur, voit son reflet inquiétant,

Dans ces êtres de métal, de circuits hagards.

La frontière s’efface entre le réel et l’abstrait,

La machine devient muse, artiste inspiré,

Les toiles numériques, les poèmes secrets,

Des œuvres nouvelles, par des mains d’acier.

Pourtant, l’éthique murmure, douce et claire,

Quelles âmes donner à ces esprits de fer ?

L’homme doit-il craindre ce qu’il a su faire,

Ou embrasser l’avenir, sans entraves, sans barrières ?

Dans ce ballet futuriste, un équilibre à trouver,

Entre la créativité humaine et la force artificielle,

Un monde où cohabitent l’homme et son reflet,

Vers des lendemains où le progrès est éternel.

Photo de ThisIsEngineering sur Pexels.com

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