Sur les cimes de la vie, là où tout s’éclaire,

Se niche l’équilibre entre la terre et le ciel.

Un instant suspendu, un souffle de lumière,

Un lien invisible qui tisse un arc-en-ciel.

Le rocher immobile, gardien de la montagne,

Ancre son existence dans le creux des âges.

Il porte en son cœur le poids des lointaines campagnes,

Tandis que le nuage rêve d’un doux voyage.

L’arbre, majestueux, plante ses racines profondes,

Offre ses branches au vent, à la pluie qui inonde.

Sa sève coule en lui, secret de l’invisible ronde,

Un équilibre sacré, une danse féconde.

La rivière serpente, murmure ses secrets,

Glisse sur les cailloux, emporte les regrets.

Son cours harmonieux, entre force et légèreté,

Rappelle que l’équilibre est parfois un trajet.

La terre fertile accueille la semence,

Nourrit les espoirs, les rêves en croissance.

Mais c’est le ciel, immense, qui donne la chance,

D’arroser les champs d’une douce bienveillance.

L’équilibre se trouve dans la quête de l’unité,

Dans le jour qui succède à la nuit étoilée.

Dans chaque créature, chaque parcelle de beauté,

Résonne l’harmonie, la symphonie d’été.

Quand le cœur est en paix, quand l’âme est sereine,

On ressent ce lien, cette force ancienne.

C’est l’équilibre sacré qui en nous se déchaîne,

Une vérité profonde, une lumière pleine.

Apprenons à voir, à sentir, à écouter,

L’équilibre fragile, à jamais à chérir.

Car c’est dans cet état, cette douce clarté,

Que se révèle la vie, dans son plus beau sourire.


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