Sous l’éclat de la lune, au clair d’un firmament,
La connaissance s’éveille, frémissant doucement.
Elle est l’aube dorée qui chasse l’ignorance,
Et tisse des étoiles dans l’ombre et le silence.
Elle est une clé d’or, ouvrant les portes scellées,
De mystères anciens et de savoirs oubliés.
Elle éclaire nos vies d’une lumière sereine,
Révélant les chemins au-delà de la peine.
La connaissance est douce, comme un murmure ancien,
Une mélodie sage qui résonne en chacun.
Elle est la flamme vive dans la nuit des esprits,
Un phare lumineux guidant l’âme qui s’éprend.
Dans les pages des livres, dans le vent qui susurre,
Elle sème des graines de vérité pure.
Elle est la quête sans fin de l’esprit voyageur,
L’étoile polaire des cœurs chercheurs.
Elle nous rend plus forts, elle nous rend plus grands,
Elle est le lien sacré des humains pensants.
Un pont d’humanité, reliant nos destins,
La connaissance est l’aube d’un monde sans fin.



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