Dans l’ombre d’une nuit sans étoiles,
L’abandon maternel laisse des voiles.
Un silence lourd, un cœur brisé,
Dans l’âme de l’enfant, tout est figé.
Les bras qui ne se tendent pas, les mots qui manquent,
Dans ce vide, l’amour semble s’évanouir, bien qu’il claque.
L’absence maternelle, comme une blessure ouverte,
Dans chaque sourire forcé, chaque larme couverte.
Pourtant, dans ce désert de tendresse,
L’enfant trouve une force, une détresse.
Il apprend à grandir sans ce qu’il espérait,
Dans son propre courage, il se dévoile, animé.
L’abandon maternel, une tragédie gravée,
Mais dans la douleur, l’enfant trouve sa voie pavée.
Il devient son propre phare, sa propre lumière,
Dans les ténèbres de l’abandon, il crée sa sphère.


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