Sous le ciel vaste aux teintes d’aquarelle,
La campagne s’étire, douce et éternelle.
Les champs dorés frémissent sous le vent,
Comme un vieux chant que murmure le temps.
Les haies en dentelle bordent les sentiers,
Où l’on croise le pas des âmes oubliées.
Le coq salue l’aube d’un cri triomphant,
Et la rosée perle sur l’herbe en diamants.
Les arbres murmurent des secrets anciens,
Leurs racines plongent dans des rêves lointains.
Chaque pierre, chaque ruisseau discret,
Garde en son cœur un peu de vérité.
Ici, le silence parle plus fort que les mots,
Et le soleil peint d’or les toits des hameaux.
La vie s’écoule, simple et sans artifice,
Dans ce décor où tout devient délice.
Ô campagne, berceau de l’âme tranquille,
Tu offres au cœur ce repos si fragile.
Et quand le monde hurle et court sans fin,
Tu restes là, fidèle, tendre écrin.
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