Ici repose celui dont le cœur fut vaste,
Asile d’espérances et de confidences,
Terre ouverte à la tendresse et à la foi.
Il vécut d’abord comme on marche dans la lumière,
Confiant en la main tendue,
Oubliant le venin qui parfois sommeille
Sous le sourire des hommes.
La trahison, un jour, frappa son seuil.
Elle entra sans bruit dans son sanctuaire,
Déchirant le fil fragile de la confiance,
Et grava dans sa chair une plaie immortelle.
Ce n’est pas l’ennemi qui l’atteignit,
Car à celui-là l’on se tient prêt.
C’est la main aimée, c’est la voix familière,
C’est l’ombre du proche qui devint l’étranger.
Alors son âme plia sous le doute,
Mais jamais ne rompit ;
Car dans la douleur il comprit que la loyauté
Est un trésor rare que le temps éprouve.
Il marcha plus seul, mais plus fort,
Portant dans le silence de sa mémoire
Le sceau des épreuves, le feu du discernement,
Et la douce flamme de ceux qui n’avaient pas menti.
Qu’on ne le pleure pas seulement pour ses larmes,
Mais qu’on honore aussi sa résilience ;
Car il sut transformer ses blessures
En leçons offertes à ceux qui restent.
Passant, lis ces mots et souviens-toi :
Ce ne sont pas les coups des ennemis
Qui brisent le plus nos vies,
Mais les trahisons de ceux que nous aimions.
Garde en ton cœur la loyauté comme rempart,
Élève la sincérité en bannière,
Et que la vérité soit ta compagne —
Car ce sont elles seules qui survivent à la mort.
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