Ici repose un souffle, une ombre, une étincelle,
Passant furtif, que l’éternité appelle.
Le voyage s’achève, le chemin s’est dissous,
Sous l’œil bienveillant des cieux, pour toujours doux.

N’attendez point de larmes, ni de plaintes amères,
Juste la paix d’une âme libre de ses chimères.
La vie fut un jardin, semé de joies, de peines,
Dont les fleurs fanées retournent à leurs veines.

L’écho des jours passés, tendres souvenirs bleus,
Murmure encore le temps sous les feuillages creux.
Car rien ne meurt vraiment, tout se métamorphose,
Quand le papillon quitte sa chrysalide éclose.

Dans l’ombre du repos, un nouveau jour se lève,
Loin des tourments terrestres, un doux songe s’achève.
Ne pleurez pas l’absence, mais célébrez le pont,
Jeté entre deux rives, où l’amour se répond.

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