Dans l’ombre où l’amour s’est fané,
Un poison subtil s’est insinué.
Paroles acides, regards glacés,
Le cœur s’étiole, blessé, lassé.
Les rires d’antan, échos lointains,
Se perdent dans les jours chagrin.
L’emprise se resserre, invisible lien,
Où l’autre s’affirme, gardien du chagrin.
Les reprochesConstants, lancés comme des pierres,
Érodent l’estime, attisent la misère.
L’espace vital se réduit, frontière floue,
Où l’ombre de l’un toujours se dévoue.
Les silences lourds, plus cruels que les mots,
Creusent un abîme, brisent les serments faux.
La confiance s’effrite, fragile cristal,
Brisée en éclats, blessant le mental.
Dans ce jardin clos, où l’air est vicié,
L’âme étouffe, son élan est nié.
Il faut briser les chaînes, oser s’envoler,
Pour retrouver la lumière et enfin respirer.
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