Ô Vent, esprit libre et vagabond,
Tu parcours le monde, sans repos ni fond.
Messager des cieux, tu murmures aux oreilles,
Des secrets anciens, des amours sans pareilles.

Tu caresses les blés, les champs dorés,
Et dans les forêts, tu fais danser les fées.
Tu souffles sur les mers, les vagues écumantes,
Et emportes les rêves, les âmes errantes.

Tu rugis parfois, tempête en furie,
Et secoues les arbres, dans une folle envie.
Mais tu sais aussi, doux zéphyr léger,
Apaiser les cœurs, les tourments éloigner.

Vent du soir, tu chantes une douce mélodie,
Berçant les espoirs, les âmes attendries.
Vent du matin, tu réveilles la nature,
Et apportes l’espoir, une nouvelle aventure.

Ô Vent, souffle de vie, souffle éternel,
Tu es l’âme du monde, un mystère essentiel.
Continue ton voyage, à travers les âges,
Et emporte nos peines, vers de nouveaux rivages.

Photo de eberhard grossgasteiger sur Pexels.com

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