Le feu, danseur ardent dans la nuit,
Éclat de lumière, ombre qui fuit,
Sa chaleur, douce ou brûlante, intense,
Éveille les sens, inspire la transe.
Des étincelles jaillissent, vives et claires,
Comme des étoiles dans l’univers,
Il consume le bois, le transforme en braise,
Évoquant des récits, des légendes, des thèses.
Le feu, force primordiale et sacrée,
Dans son sillage, rien ne peut rester,
Il purifie, détruit, régénère,
C’est le cycle éternel, mystère de la terre.
Dans l’âtre d’une cheminée, il réchauffe les cœurs,
Rassemble les âmes, chasse les peurs,
Symbole de foyer, d’unité et d’amour,
Il éclaire les visages, réchauffe les jours.
Mais le feu peut être destructeur,
Flammes dévorantes, source de terreur,
Il consume les forêts, les vies, les rêves,
Laisse derrière lui un paysage en grève.
Pourtant, même dans sa fureur, il y a une leçon,
Un rappel de notre humble condition,
Le feu, comme la vie, est fragile, éphémère,
Un éclat brillant dans le vaste univers.
Chérissons cette flamme, en apprenons la sagesse,
Utilisons sa force avec délicatesse,
Car le feu, bien que puissant et indompté,
Est aussi un allié, un guide vers la clarté.



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