Dans le silence des nuits, l’ombre se glisse,

Douleur sourde, compagnon de nos vices,

Elle murmure aux cœurs ses sombres secrets,

Tissant des toiles de peine à jamais.

Invisible fardeau, douce étreinte amère,

Elle danse en nous, fragile et sincère,

Chaque souffle de vie un peu plus fragile,

Sous le poids de ses griffes, un cœur docile.

Les larmes perlent, témoins silencieux,

D’une lutte intime contre les cieux,

Elles ruissellent, rivière de tristesse,

Lissant les traits, marquant la faiblesse.

Mais dans cette nuit, lueur d’espérance,

Un éclat de vie, une douce cadence,

Car la douleur, bien que cruelle amie,

Nous rappelle la force de la vie.

À travers les brumes des jours sans fin,

Un rayon d’espoir perçant le matin,

Transformant la peine en mélodie douce,

L’écho des larmes, en chant qui nous pousse.

Alors, chère douleur, guide et ennemie,

Nous avançons, main dans la main, unis,

Vers des horizons plus clairs et sereins,

Où la joie renaît, après tant de chagrin.

Photo de Marina Pechnikova sur Pexels.com

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