Dans l’ombre des luttes, où les voix s’entrelacent,
S’élève un murmure, un écho qui ne lasse.
C’est le chant du masculinisme, un cri sans apaisement,
Qui cherche à retrouver un pouvoir déclinant.

Ils disent que l’homme, dans ce monde moderne,
Est une forteresse que la société cerne.
Que ses droits sont érodés, ses valeurs malmenées,
Que le féminisme a tout pris, tout donné.

Dans leurs discours enflammés, teintés de nostalgie,
Ils invoquent un passé où l’homme était roi, sans défi.
Ils se dressent contre vents, contre marées de changement,
Refusant d’accepter ce nouveau firmament.

Leurs mots sont des armes, des boucliers d’acier,
Contre un monde qui change, qui ne veut plus plier.
Ils revendiquent leur place, leur droit à l’ascendance,
Dans une guerre des genres, où règne la dissonance.

Mais derrière les slogans, derrière les barricades,
Il y a des hommes perdus, des âmes en embuscade.
Leur peur, leur confusion, sont les chaînes invisibles,
Qui les lient à des idéaux, à des rêves impossibles.

Car l’égalité n’est pas une lutte à somme nulle,
C’est un partage, un équilibre subtil.
L’homme et la femme, dans ce monde à bâtir,
Doivent avancer ensemble, sans jamais se trahir.

Les voix du masculinisme, aux accents de détresse,
Peuvent trouver une paix, une douce sagesse.
En acceptant le changement, en embrassant la diversité,
Ils peuvent découvrir une nouvelle humanité.

Car le vrai courage, la véritable force,
C’est d’ouvrir son cœur, sans peur ni écorce.
C’est de marcher côte à côte, dans ce monde incertain,
Homme et femme unis, dans un même chemin.

Photo de Ali Karimiboroujeni sur Pexels.com

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