Dans le néant profond, où le silence règne,
Les ombres dansent, sans fin, sans chaîne.
Un vide sans limite, où l’esprit s’évade,
Dans l’immensité sombre, où tout se dégrade.
Là où les mots se perdent, dans l’oubli éternel,
Et les pensées s’effacent, sans trace, sans appel.
Le néant, cet abîme où le temps s’effiloche,
Où l’existence se dissout, dans un souffle qui cloche.
Mais au cœur de ce vide, une lueur persiste,
Une étincelle fragile, que rien ne résiste.
C’est là, dans ce rien, que naît la création,
Dans ce néant obscur, source d’inspiration.
Alors, dans l’ombre du néant, je tends ma plume,
Pour écrire ces mots, qui s’élèvent et s’allument.
Car même dans le vide, la poésie survit,
Comme un souffle d’espoir, qui jamais ne faiblit.


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