Dans les méandres de l’âme tourmentée,
La dysphorie danse, cruelle destinée.
Entre ombre et lumière, un incessant combat,
Où l’identité se perd, dans un silence glacé.

Le miroir reflète une image étrangère,
Un écho de soi-même, emprisonné dans la chair.
Chaque regard, chaque geste, une torture,
Dans un corps qui refuse l’essence pure.

Les mots se dérobent, impuissants face au tourment,
La douleur muette, s’enroule sournoisement.
Dans ce monde insensible, où l’on ne comprend pas,
La dysphorie souffle, comme un vent de trépas.

Mais au fond de cette nuit, un espoir s’éveille,
Un cri étouffé, une flamme qui brille.
Dans la quête de soi, surgit la résilience,
Et l’acceptation devient une douce récompense.

Dans la poésie de la dysphorie, une leçon se dessine,
Celle de l’amour-propre, qui jamais ne s’incline.
Car en dépit des tourments, au creux de la noirceur,
Brille toujours la lumière de la véritable grandeur.


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