La vie danse sur le fil du destin,

Une valse fugace, un tourbillon incertain.

Mais vient un jour où la musique s’éteint,

Laissant place à une danse finale sans refrain.

Les feuilles tombent, laissant l’arbre nu,

La mort, une saison que tout être a connue.

Les racines persistent dans la terre,

Tandis que l’âme s’élève, légère.

Dans la vaste symphonie de l’existence,

Chaque souffle est une note, une résistance.

Mais la mélodie s’achève, laissant la scène,

À la danse éternelle, à l’au-delà serein.

Photo de Ahmed Adly sur Pexels.com

En savoir plus sur Aurel Auteure

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

En savoir plus sur Aurel Auteure

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture