La vie danse sur le fil du destin,
Une valse fugace, un tourbillon incertain.
Mais vient un jour où la musique s’éteint,
Laissant place à une danse finale sans refrain.
Les feuilles tombent, laissant l’arbre nu,
La mort, une saison que tout être a connue.
Les racines persistent dans la terre,
Tandis que l’âme s’élève, légère.
Dans la vaste symphonie de l’existence,
Chaque souffle est une note, une résistance.
Mais la mélodie s’achève, laissant la scène,
À la danse éternelle, à l’au-delà serein.


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