Au crépuscule, lorsque le jour s’éteint,

Les fantômes s’éveillent, leur destin incertain.

Leurs silhouettes se dessinent dans l’ombre,

Des voyageurs de l’entre-deux, sans nombre.

Ils hantent les limites du monde des vivants,

Leur existence un mystère, des instants dérivants.

Entre deux mondes, leur présence flotte,

Les esprits errants, gardiens d’une étrange cote.

Photo de Thiago Matos sur Pexels.com

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