Au crépuscule, lorsque le jour s’éteint,
Les fantômes s’éveillent, leur destin incertain.
Leurs silhouettes se dessinent dans l’ombre,
Des voyageurs de l’entre-deux, sans nombre.
Ils hantent les limites du monde des vivants,
Leur existence un mystère, des instants dérivants.
Entre deux mondes, leur présence flotte,
Les esprits errants, gardiens d’une étrange cote.


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