Un vent souffla sur cette classe monotone
Un vent pluvieux d’un matin d’automne
Tel un coup de feu la sonnerie retentit,
Les élèves entrèrent d’un pas ralentit

Aveuglé par cette haine intérieure
Je me lève et t’attaque en plein coeur,
Omniprésent dans tes pensées
Je ne pense alors qu’à te hanter

Par ces méchancetés je me sens accablée
À encaisser tout ces piques tel un dé à coudre
Aux amis et à la vie je dois m’attacher,

Car à m’abandonner je ne puis me résoudre
Faisant la sourde oreille et l’aveugle depuis le début,
L’envie d’intervenir ne m’est jamais venu.


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