Oh ! Terriens, mes amis, cessez donc de douter !
L’heure du vrai progrès, de la fraternité,
Vient à pas de géant ! Une aurore nouvelle
Toute faite d’amour, resplendissante et belle,
Point à votre horizon !
Désormais votre science,
Élargissant le champ de ses expériences,
Va trouver le chemin de cet immense port
Où vous attendent ceux que vous avez crus morts,
Vous retirant, enfin, de l’ornière profonde
Où s’était follement engagé votre monde !
Désormais, plus d’erreurs ! La grande vérité,
Comme un phare brillant, va sur vous, éclater !
Et, la pure morale qu’enseignent les esprits
Va transformer vos cœurs, de ses beautés épris !
Oh ! Quand vous connaitrez la sublime morale,
— Dont les prêtres avaient fait un infernal dédale, —
Dans toute sa beauté, dans toute sa splendeur,
Morale de Jésus qui touche tous les cœurs !
Quand vous aurez compris les beaux enseignements,
De vos frères, plus libres au sein du firmament !
Que vous aurez perçu, senti la grande vie
Qui nous enchaîne tous et toujours nous ravit !
Que vous saurez, enfin, que religion et science
Sont des mots identiques, sans nulle différence,
Se confondant ensemble au langage des Cieux !
Car, plus on étudie, mieux on adore Dieu.
Quand vous aurez plongé dans la science des fluides.
Vos investigations, placés sous notre égide !
Que vous connaîtrez bien la médiumnité,
Pouvant la dominer, sachant en profiter !
— Cette médiumnité, superbe trait d’union
Entre le Ciel et l’homme, et le plus beau des dons,
Qu’on puisse posséder ici-bas sur la terre. —
» Combien vous serez loin de penser à la guerre ! «
Combien tout va changer, tout va se transformer,
Au milieu de vous tous, et se réanimer !


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