Sur les plaines endormies de nos racines à nos terres,
Le soleil poursuit sa course le long de nos rivières,
Son reflet dansant a pris l'allure d'un fantôme,
Résolu à briller pour donner un miroir aux Hommes.
Mon amour, je me suis assoupie en fermant les yeux
Et déposé mon corps dans cette malle aux souvenirs,
Pour revêtir mon habit de fête aux jupons soyeux
Et rejoindre un monde perché avec l'oiseau lyre.
Mon amour, mes mains continuent à écrire la vie
Sur un papier aux blancheurs éclatantes de l'éternité,
Si loin des perfides misères et des haines sans merci,
Mais si près de ton regard pour essuyer tes larmes salées.
Mon amour mon chagrin, je n'oublie rien de tes poèmes,
Ils avaient la senteur du pays comme ceux d'Alexandre,
Faisaient en mon coeur un berceau de lumière et de diadème
Que je porte encore sur mon âme pour un jour te le rendre.
Mon amour, mon destin, je rencontre nos amis de l'univers,
Leur conscience est un vaisseau qui explore la Terre
Pour cultiver cet espoir comme une fleur que je soigne
À guérir ta douleur et que peine s'éloigne.
Mon amour, pour de millions d'hommes tu n'es pas oublié,
Depuis ma nouvelle datcha j'écoute tes désirs
Et j'entends ces prière qui te sont destinées
Pour la reconstruction d'un monde en devenir.

Oui mon amour, on ne peut couper l'herbe sous tes pieds,
On ne peut effacer une idée, une pensée pour la paix
Dans la sagesse épousée, intelligence à te reconnaître
Dans le regard du semblable pour un bonheur à naître.
Oui mon étoile charnelle, tu brilles pour les fidèles silencieux,
L'histoire se conjugué au présent sur un drapeau deviné
Que tu dresses pour l'homme qui cherche son Dieu,
Tu sais, la solitude n'est que fiction de l'athée.
Mon amour mon combat, à nous deux puissions-nous faire l'addition,
De la mort à la vie et cercueils ouverts au ciel,
Pour la renaissance de l'esprit dans le coeur des nations,
En te prenant par la main dans tes pensées vers le siècle des merveilles.
Mon amour, je t'embrasse depuis d'autres Terres,
Par des plumes dévouées à mon désir,
Dans cette encore couleur arc-en-ciel, je te serre
Dans mes bras nus où le sang n'a plus à jaillir.

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