La campagne en ses ajoncs,
Et les montagnes en toile de fond
Ne nous font pas oublier
Les luttes et combats du passé
Pour que l'essence divine
Sur nos consciences ravine,
En les nourrissant autant
D'amour que du verbe puissant.
Tout continue et n'est perdu
Le temps n'est qu'un bref salut
A ce qui se profile au-delà
Pour que l'Idée n'en reste là.
Elle va fleurir dans les cœurs
Comme le salutaire sauveur
Des ignorances et des bassesses
Qui ont fait leur lit dans la liesse,
Sur le terreau de l'infériorité,
Grand mal aux dents acérées.
Le ciel s'éclaircit, je vous le dis,
Imposant l'horreur au repli.
L'espoir sans porte de secours
Œuvre au changement qui se fait jour.
Les va-t'en guerre capituleront
Car ils n'auront plus de raison
De maintenir l'âme affranchie
Derrière leurs barreaux avilis.


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