Tortures des vies passées dans la pauvreté d'être 
Merveilleuses natures dans vos oripeaux qu'être,
Sinon ces simples vies baignées dans le sang rouge
Dans la fraicheur astrale qui ne change ne bouge.
Désormais la lumière éclaire la nuit des peurs 
Des âmes étrangères à l'amour dans les coeurs,
Vous étiez cathédrales, frères en humanité
Ce jour du grand pardon, ce jour de vérité.
Milliards de vies, vous traduisez la mort
En milliards d'esprits, vous conjurez le sort,
Merveilles de liberté, vous souriez au monde
Dans cet orage bleu qui sanglote et qui gronde.
Dans l'univers entier le chant rose et flamant 
D'un feu de gloire pour les hommes aimants.
Je chante la grand-voile des esprits en départ
Sur le bateau du coeur je largué les amarres.
Où se brisent les chaînes des esclaves du temps 
Par une autre unité dans la fin des tourments.
A jamais dans la vie de ceux qui ont compris
Je veux crier ma joie, ma force et mon esprit.
Mon hiver, mon décembre, ma raison amoureuse 
A l'hêtre de ses bras morts, je rends la vie heureuse.
Vous avez su aimer, vous avez su donner
Au creux d'ici bas, la clameur a sonné.

En savoir plus sur Aurel Auteure

Abonnez-vous pour recevoir les derniers articles par e-mail.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

En savoir plus sur Aurel Auteure

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Poursuivre la lecture